Véritable foret de tuyaux, de climatiseurs et de gaines techniques en tous genres, nos « roof » urbains sont souvent  parsemés d’éléments immobiles et fragiles. Nous ne considérons pas cela comme une contrainte supplémentaire mais au contraire comme l’élément de départ qui alimente et guide notre réflexion quant à l’architecture de notre terrasse. Chaque terrasse […]

Que ce soit sur un sol stable ou instable, sur sol dur ou sur une étanchéité, la construction peut se faire sur poteaux, sur des plots réglables ou directement sur des fondations.

Utilisées pour les terrasses autoportées, les ancres surélevées sont placées entre les fondations béton et le poteau ou la poutre selon la configuration. Elles permettent d’isoler le bois du sol pour qu’il ne pourrisse. Les tiges filetées garantissent elles un réglage très fin de hauteur.

Le connecteur à dents sert à l’aboutage des lambourdes. Il est enfoncé à l’aide d’un marteau à la jointure des 2 lambourdes puis placé vers le bas, c’est à dire en contact avec le plot.

L’augmentation du coût total d’une terrasse en fonction de l’utilisation ou non de vis de bonne qualité est faible. En revanche, si pour une raison donnée, vous devez faire démonter une partie de votre terrasse

Nous utilisons des plots semi-rigides essentiellement pour les margelles des piscines, les seuils de porte et immeuble haussmanniens, c’est à dire dans les endroits où la hauteur disponible est faible.

Plots réglables à ailettes en Polypropylène chargé. Ajustables de 28 à 430 mm, ils permettent d’épouser le relief de votre sol avec beaucoup de souplesse.

La lambourde ou chevron ou solive est l’élément de structure sur lequel vient se fixer la lame de platelage. Disponibles en plusieurs sections, nous la choisissons en fonction de l’impératif de hauteur de la terrasse. Nous descendons rarement en dessous de 45mm pour des raisons de solidité.